Le sieur Ghirardini Ivano dans cet article ne rapporte pas la vérité ; mais le peut-il ? puisqu'il ne fût ni acteur ni intimé, ni victime dans l'enquête de police relative à cette affaire des "comoriens". Son raisonnement trouve sa justification dans une conduite dictée par la calomnie sous couvert d'une écriture logorrhée définie comme étant une thérapie pour guérir de certains troubles psychiques. Il utilise en appui et avec force la diffamation pour se faire entendre. Ce que ses lecteurs ne savent pas, c'est que cet alpiniste avait fait l'objet d'une procédure judiciaire en 1993 , alors qu'il était créateur de vêtements dans la vallée de Chamonix. Je n'entrerai pas dans le détail des faits, très accablants pour lui ainsi que de la procédure, qui ennuierait le lecteur . Ce qu'il faut savoir de manière synthétique c'est ,une fois les opérations judiciaires terminées menées avec le concours de l'Inspection du Travail, la Justice, et probablement le fisc, mais aussi l'URSAFF avaient relevé à son endroit des fautes graves et des condamnations avaient été prononcées. Les sanctions avaient donc été prises par des administrations souveraines et bien évidemment indépendantes les unes des autres .En réalité il avait été découvert différentes infractions sur le plan de la réglementation relative à l'emploi et à l'hébergement de personnes travaillant pour son compte. C'est donc pour cela que Ghirardini diffame tant et plus les enquêteurs de la Police de l'Air et des Frontières des Houches de l'époque et moi plus particulièrement car j'en étais le Chef de Service. La Justice avait, en son temps, agi en toute connaissance de cause appréciant les faits en toute indépendance.
En lisant ses différents "articles" diffamatoires et outranciers écrits sur les élus de la ville de Chamonix, les juges, le procureur, le bâtonnier, les avocats et sur tant d'autres personnalités (généralement connues) de la vallée et d'ailleurs , les éventuels lecteurs se rendront bien compte du degré anormal d'animosité de méchanceté qui atteint cet homme déjà troublé par son profil psychologique . Bien évidemment, une circonstance atténuante , compte tenu de son état de santé mental, peut lui être accordée, mais tout de même sa douce folie attisée par l'invisible et son corollaire l'informatif vrai aura t-elle des limites?
Christian Bilardello Commandant de Police Honoraire.
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